16 Décembre 2016
La cuisine japonaise est assez intimidante : nous manions peu ses ingrédients (à part la sauce soja) et les plats semblent complexes à réaliser. En épicerie, les produits japonais... ont des étiquettes rédigées exclusivement en japonais, ce qui ne facilite pas le repérage. Comme elles sont souvent calligraphiées pour souligner le côté traditionnel de l'article, Google translate ne reconnait plus les caractères et n'est d'aucun secours. A contrario, il est tellement simple d'acheter un plat préparé et de se laisser surprendre !
Mais Virginie est venue avec son livre de cuisine japonaise et m'a convaincue de me lancer. J'ai donc acheté aujourd'hui du daishi (bouillon d'algue konbu et de bonite), du mirin (saké de cuisine) et du shichimi tôgarashi (shichi = 7 ; tôgarashi = piment) et j'ai réalisé un nishin soba, un plat de pâtes de sarrasin (soba) au bouillon servies avec du hareng (ニシン, nishin). Le résultat était un peu trop sucré, mais assez encourageant quand même. À refaire, sans oublier la Chimay bleue en accompagnement !